La Squadra en a les moyens
J-2 avant le coup d'envoi de la Coupe des confédérations. Un an avant la Coupe du monde, il s'agit de l'ultime répétition générale pour les nations présentes.Tout au long de la journée, Foot123 vous présente les différentes équipes présentes au Brésil. Suite de notre tour d'horizon avec l'Italie, finaliste du dernier Euro, qui rêve de renouer avec la gloire mondiale.
Engagée en Coupe des confédérations (15-30 juin), la Nazionale a besoin de se préparer pour la prochaine Coupe du monde. En tête de leur groupe devant la Bulgarie, les Azzurri sont bien partis pour aller au Brésil l’été prochain.
Qualifiée au titre de finaliste de l’Euro 2012 pour cette neuvième édition de la Coupe des confédérations, l’Italie est en constant progrès depuis sa déroute lors de la Coupe du monde 2010. Avec Cesare Prandelli, la Nazionale est entrée dans une nouvelle ère. Le technicien italien est venu avec un projet : faire gagner l’Italie tout en instaurant un jeu séduisant basé sur la possession de balle. L’ancien coach de la Viola a quasiment réussi à trouver la bonne formule en alignant des joueurs d’expérience (Buffon, Pirlo) et des joueurs jeunes qui symbolisent la nouvelle génération italienne (Balotelli, El Shaarawy, Montolivo). Avec une équipe arrivée à maturité, la Squadra Azzurra va pouvoir se tester dans un groupe A relevé avec le Brésil (pays hôte), le Japon (vainqueur de la Coupe d’Asie 2011) et le Mexique (vainqueur de la Gold Cup 2011). Depuis qu’il est en poste, Cesare Prandelli et la sélection nationale suscitent un enthousiasme nouveau, on n’avait pas vu ça depuis des années de l’autre coté des Alpes. La presse, les tifosi et le monde du football italien se sont unis derrière la Nazionale. L’Italie est en pleine possession de ses moyens mais gare à l’excès de confiance car lors de la dernière Coupe des confédérations, les Transalpins étaient complètement passés à coté.
Qualifiée au titre de finaliste de l’Euro 2012 pour cette neuvième édition de la Coupe des confédérations, l’Italie est en constant progrès depuis sa déroute lors de la Coupe du monde 2010. Avec Cesare Prandelli, la Nazionale est entrée dans une nouvelle ère. Le technicien italien est venu avec un projet : faire gagner l’Italie tout en instaurant un jeu séduisant basé sur la possession de balle. L’ancien coach de la Viola a quasiment réussi à trouver la bonne formule en alignant des joueurs d’expérience (Buffon, Pirlo) et des joueurs jeunes qui symbolisent la nouvelle génération italienne (Balotelli, El Shaarawy, Montolivo). Avec une équipe arrivée à maturité, la Squadra Azzurra va pouvoir se tester dans un groupe A relevé avec le Brésil (pays hôte), le Japon (vainqueur de la Coupe d’Asie 2011) et le Mexique (vainqueur de la Gold Cup 2011). Depuis qu’il est en poste, Cesare Prandelli et la sélection nationale suscitent un enthousiasme nouveau, on n’avait pas vu ça depuis des années de l’autre coté des Alpes. La presse, les tifosi et le monde du football italien se sont unis derrière la Nazionale. L’Italie est en pleine possession de ses moyens mais gare à l’excès de confiance car lors de la dernière Coupe des confédérations, les Transalpins étaient complètement passés à coté.
Balotelli, le facteur X
Auteur d’une superbe deuxième partie de saison avec l’AC Milan (12 buts en 13 matchs), Mario Balotelli sera l’atout numéro un de la sélection italienne lors de cette grande répétition avant la Coupe du monde. Titulaire indiscutable à la pointe de l’attaque, SuperMario est capable du meilleur comme du pire… Un mélange de génie avec des gestes incroyables, beaux, quasi inattendus et une touche de folie qui peut très vite dégénérer. Coups de sang, comportements enfantins ou attitudes débiles, le Milanais peut très vite devenir un boulet pour son équipe. Le paradoxe est là, Balotelli est capable d’inscrire le but de l’année et se faire expulser dans la foulée pour des sottises. Cette folie a son charme mais il va falloir que Mario apprenne à se contrôler pour éviter la sortie de route et l’écart de trop car si Cesare Prandelli le protège constamment, il attend beaucoup de sa pépite, parfois un peu trop même. Si l’Italie compte remporter cette Coupe des confédérations et ajouter une nouvelle étoile à son maillot l’année prochaine, elle aura besoin d’un Mario Balotelli brillant et surtout plus calme, plus posé. Mission impossible ? Telle est la question…
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