Place à la répétition générale
Il s’agit très certainement de la compétition internationale la moins connue avec le championnat du monde des clubs. La Coupe des confédérations réunie tous les 4 ans les Nations vainqueurs des différents trophées internationaux. Huit équipes qui s’affrontent pour un trophée avec en point de mire un autre sacre, autrement plus prestigieux : la Coupe du monde.
Huit candidats, un seul gagnant. Il ne s’agit pas d’une nouvelle émission de télé réalité mais de la neuvième édition de la Coupe des confédérations. Du 15 au 30 juin, le Brésil, l’Espagne, l’Italie, l’Uruguay, le Mexique, le Nigéria, le Japon et Tahiti s’affronteront pour remporter le titre intercontinental. Tous les quatre ans, le Festival des champions réuni le champion du monde en titre ainsi que les champions continentaux des six confédérations : l’Euro, la CAN, la Coupe d’Asie des Nations, la Coupe d’Océanie, la Copa America et la Gold cup. A ces six invités s’ajoutent le Brésil, pays organisateur mais également l’Italie. Les Transalpins sont invités car finalistes du dernier Euro face aux Espagnols, déjà qualifiés grâce à leur titre mondial.
Ces présentations faites, quel sens donner à la Coupe des confédérations ? La compétition permet à tous les acteurs de se préparer de façon optimale pour la Coupe du monde qui se déroulera dans un an sur les mêmes lieux. Il s’agit donc d’un test grandeur nature, un échauffement d’exception avant le grand coup d’envoi. Ainsi, le Brésil va pouvoir développer ses jeunes joueurs qui vont s’habituer à la pression populaire. L’Espagne quant-à-elle est là pour remporter le seul trophée qui manque à sa collection qui s’enrichit d’année en année. Enfin, Tahiti va disputer durant ces quinze jours sa propre Coupe du monde. Non qualifiés pour le Mondial, les Toa Aito auront donc le privilège de rencontrer certaines des plus grandes Nations au monde (l’Espagne, l’Uruguay et le Nigéria) dans le groupe B.
Chaque équipe a donc un intérêt légitime à disputer cette compétition. Un intérêt qui est également très important pour les organisateurs. Depuis l’attribution de la Coupe du monde 2014 mais également des Jeux Olympiques 2016 au Brésil, les doutes sur les infrastructures et la sécurité sont nombreux. Le dernier en date : le Maracana. Durant une semaine, le stade le plus mythique de la planète a oscillé entre un consortium d’entreprises qui voulaient devenir propriétaire et le gouvernement de Rio qui hésitait à abandonner son joyau. Et, comme cela ne suffisait pas, quelques jours avant la rencontre amicale entre le Brésil et l’Angleterre, le stade a été suspendu par décision judiciaire pour des problèmes de sécurité. Des soucis réglés à temps pour disputer la rencontre dans un théâtre fabuleux. Cette Coupe des confédérations permettra donc aux Brésiliens de démontrer au reste de la planète que tous les soucis sont derrière eux. La répétition générale promet un grand spectacle avant un feu d’artifice exceptionnel dans un an.
Ces présentations faites, quel sens donner à la Coupe des confédérations ? La compétition permet à tous les acteurs de se préparer de façon optimale pour la Coupe du monde qui se déroulera dans un an sur les mêmes lieux. Il s’agit donc d’un test grandeur nature, un échauffement d’exception avant le grand coup d’envoi. Ainsi, le Brésil va pouvoir développer ses jeunes joueurs qui vont s’habituer à la pression populaire. L’Espagne quant-à-elle est là pour remporter le seul trophée qui manque à sa collection qui s’enrichit d’année en année. Enfin, Tahiti va disputer durant ces quinze jours sa propre Coupe du monde. Non qualifiés pour le Mondial, les Toa Aito auront donc le privilège de rencontrer certaines des plus grandes Nations au monde (l’Espagne, l’Uruguay et le Nigéria) dans le groupe B.
Chaque équipe a donc un intérêt légitime à disputer cette compétition. Un intérêt qui est également très important pour les organisateurs. Depuis l’attribution de la Coupe du monde 2014 mais également des Jeux Olympiques 2016 au Brésil, les doutes sur les infrastructures et la sécurité sont nombreux. Le dernier en date : le Maracana. Durant une semaine, le stade le plus mythique de la planète a oscillé entre un consortium d’entreprises qui voulaient devenir propriétaire et le gouvernement de Rio qui hésitait à abandonner son joyau. Et, comme cela ne suffisait pas, quelques jours avant la rencontre amicale entre le Brésil et l’Angleterre, le stade a été suspendu par décision judiciaire pour des problèmes de sécurité. Des soucis réglés à temps pour disputer la rencontre dans un théâtre fabuleux. Cette Coupe des confédérations permettra donc aux Brésiliens de démontrer au reste de la planète que tous les soucis sont derrière eux. La répétition générale promet un grand spectacle avant un feu d’artifice exceptionnel dans un an.
Palmarès des précédentes éditions
1992 : Argentine
1995 : Danemark
1997 : Brésil
1999 : Mexique
2001 : France
2003 : France
2005 : Brésil
2009 : Brésil
1995 : Danemark
1997 : Brésil
1999 : Mexique
2001 : France
2003 : France
2005 : Brésil
2009 : Brésil
L’info en plus : la malédiction de la Coupe des confédérations
Remporter la Coupe des confédérations n’est peut-être pas une si bonne nouvelle que ça. En effet, sur les huit vainqueurs déjà sacrés (cf. ci-dessus), aucun n’a réussi à remporter le titre international qui a suivi.
Le Brésil, vainqueur de la Coupe des confédérations en 1997 est la seule Nation à avoir atteint une finale après avoir remporté ce Festival des champions. Mais les Brésiliens ont buté sur la dernière marche et une équipe de France touchée par la grâce en 1998.
Le Brésil, vainqueur de la Coupe des confédérations en 1997 est la seule Nation à avoir atteint une finale après avoir remporté ce Festival des champions. Mais les Brésiliens ont buté sur la dernière marche et une équipe de France touchée par la grâce en 1998.
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